Le présent article à pour objet de garder trace d’un excellent article de JocelyneTameaud dans Famille Chrétienne …
Cet article m’a beaucoup intéressé.
En effet, j’ai assisté il y a quelques jours à une présentation de la « fresque du Climat » dans le cadre de la formation à l' »Eglise verte ».
Alors que je m’attendais à entendre une déclinaison de l’encyclique Laudato Si (laquelle, à part quelques concessions à la doxa écologiste actuelle, donne espoir en l’homme, et trace la façon de prendre soin de « la maison commune »), j’ai eu droit à une présentation catastrophiste démontrant en substance, que toutes les calamités sont finalement dues à l’homme.
Exprimer son désaccord n’était pas facile ; heureusement j’ai trouvé dans Famille Chrétienne, cet excellent article qui m’a éclairé sur la façon de le dire.
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Extrait de l’article de Jocelyne Tameaud de septembre 2022.
[…] Les trois derniers papes qui se sont succédé, plaident en faveur d’une écologie intégrale qui inclut aussi la théologie du corps [nota : en particulier l’encyclique Laudato Si du Pape François !].
À l’inverse, il existe une autre écologie, radicale celle-ci (deep ecology, ou écologie profonde), qui voit dans la place prépondérante accordée à l’homme dans la Bible la source funeste de tous nos maux, constat sans appel.
De toutes, l’espèce humaine est la plus nuisible: elle serait responsable du réchauffement climatique, de l’épuisement des ressources, du pillage des océans, et par-dessus tout de la surpopulation.
La solution inavouée: disqualifier l’héritage judéo-chrétien au profit de toutes les idéologies déconstructivistes, comme le Gender ou le wokisme, pour provoquer une crise identitaire planétaire qui pousse la nouvelle génération à renoncer à se survivre, préférant le droit des animaux et des plantes à celui des bébés à naître et des personnes âgées en fin de vie […].
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Tout est dit ! …